Nouvelles Générations pour le Développement

NGD

Nouvelles Générations pour le Développement

Exposé de motif de
la charte citoyenne

Exposé de motif de
la charte citoyenne

Exposé de motif de
la charte citoyenne

‘’ Tu n’exigeras de ton frère aucun intérêt ni pour argent, ni pour vivres, ni pour rien de ce qui se prête à intérêt. Tu pourras tirer un intérêt de l’étranger, mais tu n’en tireras point de ton frère, afin que l’Eternel, ton Dieu, te bénisse dans tout ce que tu entreprendras au pays dont
tu vas entrer en possession. ‘’
Deutéronome 23 :19-20
‘’ Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. ‘’
Matthieu 5 : 42 

‘’ Tu n’exigeras de ton frère aucun intérêt ni pour argent, ni pour vivres, ni pour rien de ce qui se prête à intérêt. Tu pourras tirer un intérêt de l’étranger, mais tu n’en tireras point de ton frère, afin que l’Eternel, ton Dieu, te bénisse dans tout ce que tu entreprendras au pays dont
tu vas entrer en possession. ‘’
Deutéronome 23 :19-20
‘’ Donne à celui qui te demande, et ne te détourne pas de celui qui veut emprunter de toi. ‘’
Matthieu 5 : 42 


Objet : Information et sensibilisation 

Objet : Information
et sensibilisation 

Objet : Information et sensibilisation 

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs 


En octobre 2025 et décembre 2026, la CONSTITUTION nous commande d’élire pour le quinquennat 2025-2030, ceux d’entre nos concitoyens qui auront la charge de penser, de concevoir, et d’exécuter la politique socioéconomique, industrielle, culturelle et sportive de notre pays, aux plans national et international.


Ces scrutins aux enjeux politico-financiers et diplomatiques multiformes, marqueront le début d’une véritable ère d’alternance démocratique pour l’ensemble des ivoiriens, si l’on en juge le dynamisme nouveau qui règne au sein du PDCI-RDA, depuis l’élection du Ministre Tidiane THIAM à la tête de cet important parti politique le vendredi 22 décembre 2023.


Nul doute que les principales formations politiques qui depuis 2000 s’affrontent à toutes les échéances électorales nationales et locales, désigneront des candidats à ces scrutins, notamment celui d’octobre 2025, dans l’intention première de doter la Côte d’Ivoire d’un Président de la République issu de la jeune génération de leaders politiques assez bien connus de tous les ivoiriens.


Aussi l’enjeu du taux de participation à ces scrutins, se doit-il d’ores déjà de capter l’attention de chaque citoyen, à l’effet que soient menées des actions patriotiques d’appui à l’enrôlement des populations sur la liste électorale, partout en Côte d’Ivoire, pour corriger dans le plus bref délai les erreurs qui seraient à la base du gap que nous révèlent les statistiques ci-dessous :

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs 


En octobre 2025 et décembre 2026, la CONSTITUTION nous commande d’élire pour le quinquennat 2025-2030, ceux d’entre nos concitoyens qui auront la charge de penser, de concevoir, et d’exécuter la politique socioéconomique, industrielle, culturelle et sportive de notre pays, aux plans national et international.


Ces scrutins aux enjeux politico-financiers et diplomatiques multiformes, marqueront le début d’une véritable ère d’alternance démocratique pour l’ensemble des ivoiriens, si l’on en juge le dynamisme nouveau qui règne au sein du PDCI-RDA, depuis l’élection du Ministre Tidiane THIAM à la tête de cet important parti politique le vendredi 22 décembre 2023.


Nul doute que les principales formations politiques qui depuis 2000 s’affrontent à toutes les échéances électorales nationales et locales, désigneront des candidats à ces scrutins, notamment celui d’octobre 2025, dans l’intention première de doter la Côte d’Ivoire d’un Président de la République issu de la jeune génération de leaders politiques assez bien connus de tous les ivoiriens.


Aussi l’enjeu du taux de participation à ces scrutins, se doit-il d’ores déjà de capter l’attention de chaque citoyen, à l’effet que soient menées des actions patriotiques d’appui à l’enrôlement des populations sur la liste électorale, partout en Côte d’Ivoire, pour corriger dans le plus bref délai les erreurs qui seraient à la base du gap que nous révèlent les statistiques ci-dessous :

Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs 


En octobre 2025 et décembre 2026, la CONSTITUTION nous commande d’élire pour le quinquennat 2025-2030, ceux d’entre nos concitoyens qui auront la charge de penser, de concevoir, et d’exécuter la politique socioéconomique, industrielle, culturelle et sportive de notre pays, aux plans national et international.


Ces scrutins aux enjeux politico-financiers et diplomatiques multiformes, marqueront le début d’une véritable ère d’alternance démocratique pour l’ensemble des ivoiriens, si l’on en juge le dynamisme nouveau qui règne au sein du PDCI-RDA, depuis l’élection du Ministre Tidiane THIAM à la tête de cet important parti politique le vendredi 22 décembre 2023.


Nul doute que les principales formations politiques qui depuis 2000 s’affrontent à toutes les échéances électorales nationales et locales, désigneront des candidats à ces scrutins, notamment celui d’octobre 2025, dans l’intention première de doter la Côte d’Ivoire d’un Président de la République issu de la jeune génération de leaders politiques assez bien connus de tous les ivoiriens.


Aussi l’enjeu du taux de participation à ces scrutins, se doit-il d’ores déjà de capter l’attention de chaque citoyen, à l’effet que soient menées des actions patriotiques d’appui à l’enrôlement des populations sur la liste électorale, partout en Côte d’Ivoire, pour corriger dans le plus bref délai les erreurs qui seraient à la base du gap que nous révèlent les statistiques ci-dessous :

En effet à l’exception de 1990 et 2010, années de vraies élections multipartites, plus de 45% de citoyens inscrits sur la liste électoral par la CEI ne manifestent pas d’intérêt, même pour le choix du Président de la République. 

C’est là un état de chose fort dommageable pour notre jeune démocratie, et qui impacte négativement la vitalité politique et socioéconomique de la Nation ivoirienne, qui année après année devient une sorte de propriété privée des partis politiques dits SIGNIFICATIFS. 


Il est temps de faire changer les choses. Et, les élections présidentielle d’octobre 2025 et législative de décembre 2026, sont l’opportunité à saisir, si tant est que nous voulons voir notre pays la Côte d’Ivoire amorcer à l’horizon 2035 sa véritable ascension dans le Top 10 des Nations démocratiques et industrielles émergentes d’Afrique.


Mobilisons-nous sans délai comme un seul homme pour bâtir dans la discipline et le travail, de nouveaux itinéraires de citoyenneté, et apprendre ainsi à devenir ELECTEURS et ELILIGIBLES. Le pragmatisme dont nous saurons faire preuve dans un élan populaire de réveil politique, et toute la dynamique sous-jacente démontreront à l’opinion internationale notre désaveu de l’écosystème électoral ivoirien, qui depuis 2000 est honteusement manipulé par les partis politiques dits SIGNIFICATIFS.


Nous n’avons qu’à comparer les statistiques des élections présidentielles du Ghana voisin à ceux de notre pays, de 1990 à 2020, pour comprendre aisément combien il est urgent pour chaque citoyen ivoirien de s’intéresser désormais de très près à toutes les étapes du processus électoral national, avec ou sans le tutorat d’un parti politique.

En effet à l’exception de 1990 et 2010, années de vraies élections multipartites, plus de 45% de citoyens inscrits sur la liste électoral par la CEI ne manifestent pas d’intérêt, même pour le choix du Président de la République. 

C’est là un état de chose fort dommageable pour notre jeune démocratie, et qui impacte négativement la vitalité politique et socioéconomique de la Nation ivoirienne, qui année après année devient une sorte de propriété privée des partis politiques dits SIGNIFICATIFS. 


Il est temps de faire changer les choses. Et, les élections présidentielle d’octobre 2025 et législative de décembre 2026, sont l’opportunité à saisir, si tant est que nous voulons voir notre pays la Côte d’Ivoire amorcer à l’horizon 2035 sa véritable ascension dans le Top 10 des Nations démocratiques et industrielles émergentes d’Afrique.


Mobilisons-nous sans délai comme un seul homme pour bâtir dans la discipline et le travail, de nouveaux itinéraires de citoyenneté, et apprendre ainsi à devenir ELECTEURS et ELILIGIBLES. Le pragmatisme dont nous saurons faire preuve dans un élan populaire de réveil politique, et toute la dynamique sous-jacente démontreront à l’opinion internationale notre désaveu de l’écosystème électoral ivoirien, qui depuis 2000 est honteusement manipulé par les partis politiques dits SIGNIFICATIFS.


Nous n’avons qu’à comparer les statistiques des élections présidentielles du Ghana voisin à ceux de notre pays, de 1990 à 2020, pour comprendre aisément combien il est urgent pour chaque citoyen ivoirien de s’intéresser désormais de très près à toutes les étapes du processus électoral national, avec ou sans le tutorat d’un parti politique.

En effet à l’exception de 1990 et 2010, années de vraies élections multipartites, plus de 45% de citoyens inscrits sur la liste électoral par la CEI ne manifestent pas d’intérêt, même pour le choix du Président de la République. 

C’est là un état de chose fort dommageable pour notre jeune démocratie, et qui impacte négativement la vitalité politique et socioéconomique de la Nation ivoirienne, qui année après année devient une sorte de propriété privée des partis politiques dits SIGNIFICATIFS. 


Il est temps de faire changer les choses. Et, les élections présidentielle d’octobre 2025 et législative de décembre 2026, sont l’opportunité à saisir, si tant est que nous voulons voir notre pays la Côte d’Ivoire amorcer à l’horizon 2035 sa véritable ascension dans le Top 10 des Nations démocratiques et industrielles émergentes d’Afrique.


Mobilisons-nous sans délai comme un seul homme pour bâtir dans la discipline et le travail, de nouveaux itinéraires de citoyenneté, et apprendre ainsi à devenir ELECTEURS et ELILIGIBLES. Le pragmatisme dont nous saurons faire preuve dans un élan populaire de réveil politique, et toute la dynamique sous-jacente démontreront à l’opinion internationale notre désaveu de l’écosystème électoral ivoirien, qui depuis 2000 est honteusement manipulé par les partis politiques dits SIGNIFICATIFS.


Nous n’avons qu’à comparer les statistiques des élections présidentielles du Ghana voisin à ceux de notre pays, de 1990 à 2020, pour comprendre aisément combien il est urgent pour chaque citoyen ivoirien de s’intéresser désormais de très près à toutes les étapes du processus électoral national, avec ou sans le tutorat d’un parti politique.

De 1990 à 2020 le corps électoral Ghanéen est passé de 8 229 902 inscrits à 17 027 941 inscrits, quand sur la même période, le corps électoral ivoirien est passé de 4 408 810 inscrits à 6 066 441 inscrits, du fait de la volonté et de la responsabilité des partis politiques dits SIGNIFICATIFS. 

De 1990 à 2020 le corps électoral Ghanéen est passé de 8 229 902 inscrits à 17 027 941 inscrits, quand sur la même période, le corps électoral ivoirien est passé de 4 408 810 inscrits à 6 066 441 inscrits, du fait de la volonté et de la responsabilité des partis politiques dits SIGNIFICATIFS. 

De 1990 à 2020 le corps électoral Ghanéen est passé de 8 229 902 inscrits à 17 027 941 inscrits, quand sur la même période, le corps électoral ivoirien est passé de 4 408 810 inscrits à 6 066 441 inscrits, du fait de la volonté et de la responsabilité des partis politiques dits SIGNIFICATIFS.